Fourre-tout

Un commentaire observateur : « La nature a horreur du vide ». Alors ils remplissent, ils récupèrent, ils accumulent, ils entassent, ils stockent, ils gardent, ils conservent – Tout. Ils donnent sans le vouloir l’impression sans doute vraie que rien n’est propre – en mal d’hygiène. Tout est commencé, rien n’est terminé. La déstructuration à son point culminant. L’illusion de construire par l’accumulation. Puis des déplacements par lesquels la prétention dit faire du tri. Une logique sans queue ni tête qui se reflète entre chaque mur surchargé qui pèse et étouffe. Seuls, le jardin et le chat, soignés et méticuleux, rééquilibre le fourre-tout rocheux.