Pensée ramassée

Celle qui te surprend au point que tu sais qu’au fond elle n’est peut-être pas la tienne, mais d’où qu’elle vienne, elle est là, elle t’appelle.
Il faut la coucher, là maintenant sur le papier avant qu’elle ne s’enfuit vers une autre sortie.
Métaphore de l’éphémère et du passager, je pense, tu penses, nous pensons et demain peut-être penserons nous différemment.
Espoir. Changer. Panser. Pensées, qui a travers toi s’échappent.
Porte de sortie pour boulettes de papiers froissées, invisibles, venues d’ailleurs et allant ou l’intention les guide.
Délicatement, déplier le contenu, ne rien changer car si la perfection n’existe pas cela signifie que parfait, tu l’es déjà.