Ses yeux lui font mal, des larmes extorquées après que la rage est frappée ont brulé les contours.
Le feu exprime la fureur qui transpire tant que s’extrait cette fumée noire aux prises d’idées grises.
Mais voilà qu’elle transmute la lourdeur d’un soir en princesse du jour, elle a la force de ceux qui sont libres, elle l’arbitre d’un jeu invisible.
Quand le voile se lève, le choix reste le même ; face à elle-même, elle se redresse.