Franco

Frank a cette façon italienne de dire au monde qu’il n’en a rien à foutre. C’est son antre « two ants », son café, son quinze mètres carrés qui contient tout le quartier. Une version moderne du sac de Mary Poppins. On s’y entasse, on attend debout ou accoudé aux fenêtres, 20 minutes s’il le faut. Devant l’entrée, quelqu’un a gravé dans …