Réveil

Tu sais dans le fin fond d’une usine

A déchirer les rejets du passé

Tu n’épargnes que l’illusion des regrets

Regarde les tous là accumulés

Dans tes recoins agglutinés.

N’y a t’il aucune compassion

Pour tes propres blessures

Que tu caches comme si

Tu craignais tes propres démons.

Regarde toi, regarde les

Comprend les, reprend toi.

Réveille toi, sors de ta fantaisie.

Fini de se convaincre que cela passe

Quand tout autour casse.

Ouvre grand les yeux

Quand le miroir fait face

Quand il t’entoure où que tu regardes.

On n’échappe à rien

Encore moins à soi

La gravité n’est pas qu’une loi physique

Elle te surprend

Au détour d’un jour ordinaire

Te rappeler au réel.

Réveil.